13 Sep Quel âge avez-vous vraiment ?
Quel âge avez-vous vraiment?
Connaissez-vous votre âge biologique? Cela n’a aucun rapport avec votre nombre d’années de vie. C’est fortement influencé par votre génétique familiale et votre style de vie.
Pensez-vous avoir conservé votre cœur d’enfant ?
Êtes-vous une vieille ou une jeune âme, selon les dires de vos proches ?
Vous avez l’âge de votre génie, de votre expérience ?
Avez-vous cette sagesse qui fait l’envie de votre entourage?
Votre libido met-elle des étoiles dans vos yeux ?
Vous avez l’âge de votre folie, de votre humour, de votre besoin de découvrir, de créer, de donner et de toujours vous émerveiller.
Alors, pourquoi considérons-nous encore aujourd’hui une personne selon le nombre d’années de vie depuis sa naissance, alors que la réalité est autre ?
La prochaine fois que l’on vous demandera votre âge, vous pourrez répondre : laquelle désirez-vous ?
« La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années ; on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande, comme l’enfant insatiable « Et après ? » Il défie les événements et trouve la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous serez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.
Si un jour votre coeur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, vous serez alors un vieillard »
*Source : Samuel Ullman